À l’âge de l’adolescence, alors que certains de ses congénères contrent l’autorité, trainent dans la rue, Véronique, exprime sa nostalgie d’adolescente, la tristesse de ses premiers émois déçus, en écrivant, en toute discrétion, des poèmes. Dès ce jeune âge, lors de réunions familiales ou amicales, elle continue à écrire et dédie des poèmes.

En 2009, après avoir vécu un événement important de sa vie, elle imagine son premier roman, non encore terminé à ce jour, inspiré de ses quelques semaines à vivre dans la rue, une vingtaine d’années en arrière.

Tout en travaillant en tant que secrétaire-comptable, puis assistante de direction, une épouse accomplie et une mère comblée, très entourée de sa grande famille, elle continue à écrire des romans sur son ordinateur, en notant ses innombrables idées d’éventuelles nouvelles histoires.

En 2010, elle envoie ses premiers romans terminés à une maison d’édition. Elle recevra des refus sans en connaître les raisons. Qui ne tente rien, n’a rien, paraît-il.

En 2011, à l’âge de 43 ans, elle imagine avec son fils, âgé d’à peine 17 ans, l’écriture de «Chenil ». De situations cocasses, en situation gênantes, l’héroïne est quelque peu inspirée de sa propre situation personnelle, de sa propre difficulté à être adroite et en mémoire de son chien « Youki », surnommé « Kiki », un chien de race griffon croisé épagneul.

L’ensemble de ses romans actuellement en écriture, sont, pour la plupart, inspirés de sa vie personnelle et de son entourage, tout en restant de la pure fiction romanesque.

En 2023, grâce à une idée de son fils, devenu ingénieur en développement informatique, elle se décide à relire et à corriger «Chenil » et à le publier sur le site Amazone Kindle.